jeudi 23 octobre 2014

Elle a couché avec des nazis pour leur transmettre des MST et les tuer...


Une infirmière tchèque, qui a été violée par des soldats nazis qui ont envahi son pays, s'est vengée en leur transmettant des maladies sexuellement transmissibles. Les soldats ont disparu les uns après les autres jusqu'à ce que la Gestapo ait découvert son manege, et qu'apparemment elle ait été assassinée... 



Une infirmière tchèque qui a couché avec des soldats nazis afin de leur transmettre des MST a été immortalisée par une plaque commémorative.

Les habitants de la localité de trebon n'ont declaré que l'infirmière, qui travaillait alors dans un hôpital local, avait décidé de se venger des envahisseurs nazis par lesquels elle avait été violée un peu après qu'ils aient envahi son pays.
Karl Frimel, âge de 79 ans et ancien avocat, vit aujourd'hui dans la maison de cette femme, et il est à l'origine de cette reconnaissance. "Malheureusement nous ne connaissons pas son nom exact", a raconté Frimel, "mais nous savons qu'elle avait été nommée pour surveiller l'état de santé des soldats allemands blessés, et qu'elle les a rendu malades en ayant des rapports sexuels avec eux".
Au début les habitants locaux ont condamné cette mystérieuse infirmière et la surnommait "la pute", mais quand les soldats ont commencé à être malades et à disparaitre les uns après les autres tout le monde ont compris qu'elle les avait contaminé volontairement avec une MST. "Ça a été sa résistance à elle, et sa vengeance après avoir été violée", a raconté Frimel. "Elle avait beaucoup d'amants allemands, peut-être six, dix, ou plus. Les gens racontent qu'ils sont tous morts après avoir eu une aventure avec elle".
La Gestapo, qui était en activité en Tchécoslovaquie, a finalement découvert l'infirmière vengeresse après avoir envoyé un de ses agents pour qu'il découvre ce qu'il était arrivé aux soldats morts dans cette localité. "La Gestapo a remarqué la mort des soldats et à envoyé un agent secret à l'hôpital. Il a découvert le plan de l'infirmière et s'est chargé de la faire assassiner", a encore raconté Frimel.

La conservatrice du musée de Trebon a expliqué : "cette femme n'est pas connue, d'un point de vue historique il n'y a aucun document qui rappelle son action, mais il y a des gens qui se souviennent d'elle et de son histoire, et là-dessus les avis divergents. Certains disent que c'était une "pute" qui a transmis des MST aux soldats allemands, d'autres sont persuadés qu'elle était une vraie patriote qui a été violée et contaminée par les nazis, et qui après a décidé de se venger". L'avis de Frimel est très clair : "c'est très douloureux pour moi de savoir qu'elle est morte dans l'anonymat. Elle est morte en héros, et c'est pour cela que nous avons posé cette plaque commémorative".
Source Haabir-haisraeli.over-blog