La montée des tensions entre Israël, la Syrie et le Liban ainsi que l'opération dans la bande de Gaza et la decouverte des " tunnels de la terreur " ont suscité un phénomène naturel puisque les demandes de port d'armes de poing dans le nord d'Israël ont véritablement explosées. Le chef adjoint du conseil régional de Ma'ale Yossef, Yosi Adoni, a déclaré : " J'entends de plus en plus de résidents qui veulent avoir des armes à la maison parce qu'ils craignent des infiltrations de terroristes et ont peur de ne pas avoir les moyens de se défendre contre eux "...
C'est la même chose dans le Moshav Habashan, près de la ville syrienne de Quneitra, qui a été conquise par les forces du Califat Islamique ( ISIS ).
Une enquête menée par un quotidien israélien a révélé que 80% des habitants du moshav ont retiré leurs armes de l'arsenal communal et l'ont emporté à la maison pour se protéger. En outre, l'enquête a révélé que toutes les villes frontalières du Conseil Régional de Haute Galilée ont reçu une directive générale émanant des membres de l'équipe de sécurité afin de garder leurs armes à la maison avec eux. Dans la région de Ma'ale Yossef, le nombre de propriétaires d'armes à feu personnelles a augmenté de 60% !
Ces demandes sont liées à une avalanche de déclarations provenant d'officiers supérieurs de Tsahal à propos d'éventuels tunnels terroristes du Hezbollah le long de la frontière avec le Liban.
Une enquête menée par un quotidien israélien a révélé que 80% des habitants du moshav ont retiré leurs armes de l'arsenal communal et l'ont emporté à la maison pour se protéger. En outre, l'enquête a révélé que toutes les villes frontalières du Conseil Régional de Haute Galilée ont reçu une directive générale émanant des membres de l'équipe de sécurité afin de garder leurs armes à la maison avec eux. Dans la région de Ma'ale Yossef, le nombre de propriétaires d'armes à feu personnelles a augmenté de 60% !
Ces demandes sont liées à une avalanche de déclarations provenant d'officiers supérieurs de Tsahal à propos d'éventuels tunnels terroristes du Hezbollah le long de la frontière avec le Liban.
Un autre facteur qui peut expliquer cette " course a l'armement " : l'armée israélienne et le ministère de la Défense ont arrété la surveillance des communautés le long de la frontière nord. Adoni a déclaré a ce propos qu' " il s'agit d'une conséquence directe de la décision du ministère de la Défense d'annuler la sécurité autour des communautés frontalières. Il y a un mouvement de panique, un sentiment d'insécurité, de nombreux résidents se demandent qui va les défendre si ce n'est eux-mêmes ".
Source Koide9enisrael