lundi 7 novembre 2016

Le maire de Jérusalem déclare que des milliers d'Arabes vivent sur des terres appartenant aux juifs...




Le maire de Jérusalem, Nir Barkat, a contacté le procureur général Avichai Mandelblit pour lui demander de bien comprendre que la destruction de la ville d'Amona en raison de la décision prise par la Haute Cour de justice aura de lourdes conséquences sur la propriété à Jérusalem....Détails.....


Barkat a envoyé une lettre au procureur général après avoir passé les dernières semaines à travailler avec le conseiller juridique de la ville sur l'épineuse question de la propriété des terres à Jérusalem, constatant que la ville est confrontée à une situation semblable à celle d'Amona mais où les rôles sont inversés.
Cela est particulièrement vrai à Jérusalem-Est, où il existe de nombreuses terres appartenant à des Juifs qui sont actuellement envahies par des squatters arabes.
Les Juifs vivaient et possédaient des biens dans la partie Est de Jérusalem avant que la Jordanie n'ait nettoyé ethniquement la région de ses Juifs pendant la guerre d'Indépendance de 1948. Beaucoup de propriétés appartenant à des juifs avant l'instauration de l'Etat d'Israël sont actuellement occupées par des Arabes qui s'y sont installés durant la période où les juifs y étaient interdits ( dans la moitié orientale de la ville ).
Selon les estimations du maire et des experts, si les Arabes vivant sur des biens appartenant à des juifs devaient être traités de la même façon que les résidents d'Amona, la ville serait alors obligée d'expulser des milliers d'Arabes de leurs foyers ! 
Jérusalem-Est n'est pas reconnue par la communauté Internationale comme étant sous la souveraineté israélienne, tout comme Amona ne l'est pas non plus.
Barkat a écrit au procureur général : "Etant donné qu' Amona a été construit il y a vingt ans, avec le soutien du gouvernement Israélien de l'époque, son évacuation causerait une injustice grave aux quarante familles qui y ont été établies en toute bonne foi. C'est pourquoi je soutiens pleinement la communauté d'Amona et demande sa reconnaissance officielle. Si le jugement de la cour est de détruire le village, alors cela montrerait qu'il y a une grande injustice car cela prouverait qu'il y a une loi pour les Juifs et une autre loi pour les Arabes.
Je vous demande donc de tenir une audience afin de fixer la position juridique de l'État concernant cette question ".


Source Koide9enisrael
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